Du 16 au 18 octobre 2024, le 10e Sommet scientifique de l’Observatoire climatique spatial (DSVCO) et de l’Institut national de normalisation et de technologie (NIST) a réuni plus de 50 scientifiques. Les participants provenaient principalement du Goddard Space Flight Center de la NASA (GSFC), ainsi que de divers autres centres de la NASA, d’universités américaines et du département américain de […].
**L’EPIC et la machine à remonter dans le temps climatique**
L’Earth Polychromatic Camera (EPIC) du DSVCO a fait l’objet de nombreuses discussions. Cet instrument permet d’étudier les variations climatiques de la Terre sur des décennies passées, offrant un aperçu précieux de l’évolution de notre planète.
« EPIC est comme une machine à remonter dans le temps pour le climat », a déclaré le Dr James Russell, scientifique du GSFC. « Il nous permet de documenter les changements climatiques à une échelle sans précédent. »
**NISTAR : Mesurer la lumière des profondeurs cosmiques**
Le Advanced Radiometer (NISTAR) du NIST, quant à lui, mesure avec précision les niveaux de lumière provenant des profondeurs de l’espace. Ces mesures permettent aux scientifiques d’étudier le Soleil et son impact sur la Terre.
Des données précieuses pour les décisions politiques
Les données collectées par l’EPIC et le NISTAR sont essentielles pour éclairer les décisions politiques concernant le changement climatique. En comprenant les changements passés et présents, les scientifiques peuvent prédire les impacts futurs et élaborer des stratégies d’adaptation.
« Ces instruments sont des outils puissants qui nous aident à prendre des décisions éclairées sur notre avenir climatique », a déclaré la Dr Sarah Jones, responsable de programme à la NASA.
**Une collaboration internationale pour un avenir interstellaire**
Le Sommet a également souligné l’importance de la collaboration internationale dans la recherche climatique spatiale. Les participants ont discuté de projets conjoints avec des agences spatiales étrangères, notamment l’Agence spatiale européenne (ESA) et la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) des États-Unis.
« La recherche climatique spatiale est un effort mondial », a déclaré le Dr Thomas Woods, directeur de l’Institut de physique astrophysique de l’Université du Colorado. « En collaborant, nous pouvons obtenir des résultats plus rapides et plus complets. »
**Conclusion : Des étoiles dans nos yeux**
Le Sommet scientifique du DSVCO et du NIST a réuni les meilleurs esprits de la recherche climatique spatiale. Leurs discussions et leurs découvertes contribuent à notre compréhension du climat de la Terre et ouvrent la voie à un avenir durable pour notre planète et au-delà.
Mots-clés : DSVCO, EPIC, NISTAR, changement climatique, recherche spatiale
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