

Les scientifiques de la NASA ont mené une étude sur près de 20 ans de données pour démontrer des changements sans précédent dans le cycle de l’eau mondial. La majorité de ces perturbations sont attribuées à des activités humaines comme l’agriculture, pouvant avoir des répercussions sur les écosystèmes et la gestion de l’eau, en particulier dans certaines régions. D’après l’étude, « nous avons établi par assimilation de données […] ».
Impacts régionaux
Les changements observés varient selon les régions. Par exemple, les précipitations extrêmes augmentent dans certaines zones tandis qu’elles diminuent dans d’autres. Ces variations peuvent entraîner des sécheresses, des inondations et d’autres événements climatiques extrêmes.
« Dans certaines régions du monde, les précipitations extrêmes augmentent en fréquence et en intensité, tandis que dans d’autres, elles diminuent », expliquent les chercheurs.
Conséquences sur l’agriculture
L’agriculture est un facteur majeur de perturbation du cycle de l’eau. L’irrigation, le drainage et l’utilisation des terres peuvent modifier les flux d’eau et les taux d’évaporation.
« Les activités agricoles représentent une part importante des perturbations anthropiques observées dans le cycle de l’eau », soulignent les scientifiques.
Perspectives
Les résultats de l’étude soulignent l’importance de comprendre les impacts de l’activité humaine sur le cycle de l’eau. Ils exhortent les décideurs politiques à prendre en compte ces changements dans la planification de la gestion de l’eau et de l’adaptation au changement climatique.
« Ces changements peuvent avoir des implications importantes pour la gestion de l’eau, la sécurité alimentaire et la santé publique », concluent les chercheurs.
Mots-clés : cycle de l’eau, perturbation humaine, changement climatique, gestion de l’eau
