
Jeudi, le Parlement européen a adopté trois résolutions condamnant les violations des droits humains en Crimée, au Kirghizstan et en Azerbaïdjan. Ces textes mettent en lumière les atteintes graves portées aux libertés fondamentales dans ces pays.
**Crimée : une annexe illégale**
Annexion illégale
La résolution sur la Crimée dénonce l’annexion illégale de la péninsule par la Russie en 2014. Les députés condamnent les restrictions imposées aux Tatars de Crimée, une minorité ethnique victime de persécutions et de discriminations.
**Kirghizstan : liberté d’expression muselée**
Liberté d’expression bafouée
La résolution sur le Kirghizstan s’inquiète de la répression croissante contre la liberté d’expression. Les députés dénoncent les arrestations et les poursuites judiciaires arbitraires de journalistes et de militants politiques.
**Azerbaïdjan : prisonniers politiques et opposants persécutés**
Prisonniers politiques
La résolution sur l’Azerbaïdjan condamne l’emprisonnement de nombreux prisonniers politiques, dont le journaliste Khadija Ismayilova. Les députés dénoncent les tortures et les mauvais traitements infligés aux détenus et appellent à leur libération immédiate.
**L’UE appelle à des mesures concrètes**
Appel à l’action
Dans ces trois résolutions, le Parlement européen exhorte les pays concernés à cesser les violations des droits humains. Les députés appellent les autorités à respecter les obligations internationales, à libérer les prisonniers politiques et à mettre fin à la répression contre les opposants et les journalistes.
**Mots-clés :** Droits humains, Crimée, Kirghizstan, Azerbaïdjan, Parlement européen, Violations
