Les députés européens Christine Anderson, Anja Arndt et Marc Jongen, du groupe Europe des nations et des libertés (ESN), remettent en cause la déclaration d’urgence climatique et environnementale prononcée par l’Union européenne.
**Une question d’interpellation orale**
Dans une question d’interpellation orale adressée à la Commission européenne (O-000017/2024), les eurodéputés soutiennent que cette déclaration est « non fondée » et qu’elle « crée une panique injustifiée ».
**Une remise en question des preuves scientifiques**
Selon l’ESN, les preuves scientifiques ne soutiennent pas l’affirmation selon laquelle l’activité humaine est la principale cause du réchauffement climatique. Ils soutiennent que les facteurs naturels, tels que les variations solaires et l’activité volcanique, jouent un rôle plus important.
** »Les données ne correspondent pas à l’alarmisme »**
« Les données disponibles ne correspondent pas à l’alarmisme de la Commission européenne », a déclaré Christine Anderson. « Il est temps de mettre fin à cette hystérie climatique et de se concentrer sur des solutions réelles qui n’appauvrissent pas les citoyens. »
**Des conséquences économiques et sociales néfastes**
L’ESN affirme que les politiques visant à lutter contre le changement climatique sont coûteuses et ont des conséquences sociales néfastes. Ils soutiennent que ces politiques nuisent aux industries, suppriment des emplois et augmentent le coût de la vie des citoyens.
**Une conclusion inquiétante**
La remise en cause de l’urgence climatique par l’ESN est inquiétante, car elle pourrait saper les efforts déployés pour lutter contre le changement climatique. Elle montre également que la désinformation et le déni scientifique sont toujours présents dans le paysage politique européen.
**Mots-clés :** Urgence climatique, changement climatique, désinformation scientifique, ESN, Commission européenne