Alors qu’il n’existe toujours pas de traitement qui s’attaque aux causes du SOPK, des scientifiques de l’Inserm, du CHU de Lille et de l’université de Lille ont réussi à empêcher l’apparition de ses principaux symptômes – tels que l’infertilité et les troubles métaboliques entraînant une prise de poids – chez des souris.
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