Von der Leyen inaugure la 48e Conférence CARICOM avec un discours épique

Von der Leyen inaugure la 48e Conférence CARICOM avec un discours épique

Lors de l’ouverture de la 48e Conférence régulière des chefs de gouvernement de la Communauté des Caraïbes (CARICOM), la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a prononcé un discours passionnant qui a captivé l’audience.

« Un pont entre nos mondes »

Von der Leyen a commencé par souligner les liens historiques et culturels qui unissent l’Europe et la région des Caraïbes. « Nous sommes reliés par un pont qui traverse l’Atlantique, un pont de compréhension, d’amitié et d’opportunités », a-t-elle déclaré.

« Investir dans le potentiel numérique »

La présidente a présenté les futurs plans de coopération entre l’UE et la CARICOM, mettant l’accent sur le développement numérique. « Nous devons investir dans l’avenir numérique de la région, créant de nouvelles opportunités économiques et améliorant l’accès à l’information », a-t-elle affirmé.

« Coopération en matière de changement climatique »

Von der Leyen a souligné l’urgence de lutter contre le changement climatique, qui menace gravement les pays des Caraïbes. « Nous travaillerons ensemble pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, garantir une transition énergétique équitable et protéger la biodiversité de la région », a-t-elle déclaré.

« Promouvoir les valeurs démocratiques »

La présidente a réaffirmé l’engagement de l’UE envers les valeurs démocratiques et les droits de l’homme. « Les Caraïbes sont un modèle de démocratie et de stabilité, et nous devons continuer à travailler ensemble pour soutenir ces principes », a-t-elle déclaré.

« Perspectives futures »

Von der Leyen a conclu son discours en exprimant son optimisme quant à l’avenir des relations UE-CARICOM. « Ensemble, nous pouvons ouvrir la voie à une prospérité partagée, à une coopération renforcée et à un pont encore plus solide entre nos continents », a-t-elle déclaré.

Mots-clés : CARICOM, Union européenne, Coopération numérique, Changement climatique, Démocratie

Source : Article original

Retour en haut